La marque de chocolat genevois, dont la fabrication remonte à 1826, est-elle au bord de la faillite ? C'est ce que l'on peut croire, suite à la vague de licenciement de la semaine dernière, dont la nouvelle ne semblait pas suffisamment importante pour les médias. 6 cadres sont licenciés pour mesures financières. D'autre part, après la restructuration de la marque il y a environ 4 ans, quelques nouveautés ( noir-thé vert ou noir-orange ), la marque ne s'est pas assez diversifiée, alors que Cailler ou Lindt ont fait preuve de modernisme.
Bien sûr, la maison de Versoix est encore bien présente, et je l'espère pour longtemps. A l'heure ou les fêtes approchent, je ne peux que souhaiter un maximum de vente, sans quoi, une marque suisse disparaîtra. Encore !
Enfin, je signale que cet article n'est que mon avis, il ne découle nullement de sources extérieures, surtout dans la mesure ou aucun chiffre n'a été avancé par la maison concernée.
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